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~ Imaginary ~

17 janvier 2007

Ces temps ci...

Reviens...

 Someday 

How the hell did we wind up like this
And why weren't we able
To see the signs that we missed
And try to turn the tables

I wish you'd unclench your fists
And unpack your suitcase
Lately there's been too much of this
But don't think it's too late


[Chorus]
Nothing's wrong
Just as long as
You know that someday I will

Someday, somehow
I'm gonna make it alright But not right now
I know you're wondering when
You're the only one who knows that
Someday somehow
I'm gonna make it alright But not right now
I know you're wondering when


Well I'd hope that since we're here anyway
That we could end up saying
Things we've always needed to say
So we could end up staying
Now the story's played out like this
Just like a paperback novel
Let's rewrite an ending that fits
Instead of a Hollywood horror

[Chorus]

[Solo]
How the hell did we wind up like this
And why weren't we able
To see the signs that we missed
And try to turn the tables
Now the story's played out like this
Just like a paperback novel
Let's rewrite an ending that fits
Instead of a Hollywood horror


[Chorus]

I know you're wondering when
You're the only one who knows that
I know you're wondering when

Nickelback

Traduction

 
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1 janvier 2007

Je t'en veux...

Je t'en veux à toi A. pour ne plus être la petite soeur que j'avais et d'être maintenant une amie.
Je t'en veux à toi A. d'avoir fait ce que tu as fait même si maintenant la chose est "réparée" car le doute s'est installé.
Je t'en veux à toi A. de toujours me dire que je compte pour toi alors que tu n'es plus là et que si moi je ne fais pas le premier pas, alors toi tu ne viendras pas.
Je t'en veux à toi E. pour m'avoir dites toutes ces choses et pour m'avoir fait souffrir à ce point. Je t'ai fait une promesse hier soir et tu ne t'en souviendras pas, je t'ai dit des choses que je n'ai que rarement dites et tu ne t'en souviendras pas.
Je t'en veux à toi G. pour avoir changé comme celà et être devenu ce que tu es.
Je t'en veux à toi G. pour être partie, pour m'avoir rejeté alors que finalement tu as autant besoin de moi que j'ai besoin de toi.
Je t'en veux à toi J. pour la personnalité que tu as développé et te croire si parfait que finalement tu fais ressortir uniquement tes défauts.

Je t'en veux à toi J. pour avoir été là un an et pour m'avoir d'un coup rejeté (ou bien t'être éloigné sans mauvaises intentions je ne le saurais jamais...).

Je t'en veux à toi L. pour m'avoir donné de faux espoirs durant deux longs mois qui comptent pourtant parmi mes meilleurs moments ainsi que pour m'avoir trahit.
Je t'en veux à toi M. car tu m'engueules souvent car je suis distant alors que tu es pire que moi désormais.
Je t'en veux à toi Y. pour disparaître comme ça, de suivre ta voie en m'abandonnant.
Je t'en veux à toi Y. de ne pas faire un choix et de toujours (ou presque) rester en neutralité et de parfois sacrifier tes amis.

Je t'en veux à toi Jérome pour en vouloir à toutes ces personnes.
Je t'en veux à toi Jérome pour vouloir que toutes ces personnes changent afin qu'elles conviennent à tes désirs.
Je t'en veux à toi Jérome car tu désires que ta vie se conforme à ton imagination.
Je t'en veux à toi Jérome de vouloir des choses impossibles.

Pourtant malgré tous cela, ces personnes sont (ou ont été) comme ma chair et mon sang, ils font (ou ont fait) partie de ma vie et l'égaye (ou l'ont égayé).

Bonne année.

(Les couleurs servent à distinguer les personnes.)

19 septembre 2006

Je suis là...

Je suis là, je vais bien.
La fac c'est cool mais prise de tête car c'est graaaaaaand et les emplois du temps changent tous les jours. Sinon emplois du temps nickel avec cours 4 jours sur 7 et permission de se lever "tard" 2 matins (tard = 8h...). Par contre c'est marrant mais la fac d'éco, si t'as pas fais un bac scientifique, tu t'retrouves en partie larguer dans pleins de matières... M'enfin moi pour le moment ça va, j'arrive à suivre et les exercices j'ai pas trop de problèmes... =)

Voilou, j'ai pas beaucoup de temps donc j'vais finir sur cette brêve explication ! :)
Yeah j'ai pas encore laché de nouveau ce blog. :P

9 septembre 2006

Journée dans le passé

Aujourd'hui la journée fut sympa. 13h20 départ pour Neuville en avance afin de trouver un Kiosque sur place mais manque de chance, cette ville (si on peut appeler ça comme ça...) est paumé de chez paumé, il n'y a rien du tout si ce n'est le pôle universitaire, quelques habitations et la gare des bus et des trains. Je patiente donc 40min en faisant le tour de la gare puis en attendant devant la Fac qu'Yves et Kevin sortent. On repart et je fais la connaissance vite fait des nouveaux potes qu'ils se sont fait là-bas, sympa.

Maintenant direction le lycée où on fait un petit tour afin de sentir l'odeur qui lui est propre et claqué (malencontreusement...) quelques portes en poussant un peu trop fort. Une fois la sonnerie qui retentit, on se dirige vers la salle de notre ancien prof de physique/chimie et on reste à discuter avec lui durant le temps de la récréation, c'est sympa, on rigole bien puis la sonnerie sonne et il doit aller en cours. On le laisse et on s'en va rejoindre Anthony et Galaad qui viennent juste d'arriver (avec 10 à 15min de retard ^^), on se balade à nouveau mais sans trouver un seul autre prof de l'année dernière.
Après avoir passé 10min à discuter (et galérer...) sur la passerelle, on (enfin je.) me décide à aller en salle des profs pour trouver l'emploi du temps de nos anciens profs. Manque de chance, il n'est pas là et on est partie pour se taper tout les centres administratifs du lycée tout ça pour se retrouver à la vie scolaire où on nous annonce que sur les 4 profs qu'on voudrait voir, 2 sont absents et les 2 autres sont en cours... Un peu dégouté par ce périple inutile, on se rend de nouveau dans la salle du prof de physique et cette fois Anthony et Galaad vont le voir (car nous on l'a déjà vu un peu avant ^^) et il nous invite à rentrer dans la salle pour parler aux Spé Physique/chimie ! L'horreur, il se met à rire (ouais enfin en gros...) et nous dit que ça lui fera plaisir de nous revoir à un autre moment et qu'on pourra même organisé une sorte de réunion de nous (les anciens de terminales) avec eux (les nouveaux de terminales) ce qui a peu de chance de se faire car me connaissant et connaissant les autres, ils ne voudront pas et moi non plus.
Finalement après presque une heure à se balader dans le lycée, on repart tous de notre côté et moi je reprend le chemin avec Yves qu'on a parcourut des centaines de fois depuis notre arrivé en seconde. Ça fait bizarre de l'emprunter à nouveau et comme il l'a dit : Nos petits délires vont manquer. Ça faisait 3ans qu'on se voyait tout les jours de cours et qu'on passait la journée ensemble puis d'un seul coup bah plus rien... C'est une des petites choses du lycée qui vont me manquer. Avec qui je vais délirer sur des TP sur la bombe atomique ? Avec qui je délirerais la prof d'allemand qui dans un coup de rage nous montrera sa petite culotte afin qu'on meurt d'horreur ? C'est étrange de perdre tout ça d'un coup...

8 septembre 2006

Je me plains encore.

Chaque fois que je vais pas bien je viens ici mais ça fait un moment que le simple fait d'ouvrir la page Canalblog me réconforte suffisamment pour que je n'écrive pas ici... Mais ce soir c'est différent ça faisait longtemps que ça ne mettait pas arriver. Exactement depuis que Laetitia m'ai plaqué ça veut dire environ 1 an et 2 moi...
Pourquoi ce soir ? Je sais pas, j'ai parlé avec une amie durant seulement quelques minutes puis j'ai commencé à repenser à ce que j'ai vécu avec elle et ce que je ne vivrais plus maintenant car des dizaines de kilomètres nous séparent et j'ai continuellement cette image d'elle qui s'éloigne de moi alors que je descend dans cette foutue gare de la Défense pour rentrer chez moi pendant qu'elle, elle repart vers chez elle. Ça fait presque deux mois et pourtant j'ai l'impression que c'était hier, voir même il y a seulement quelques minutes... Ça me fait trop mal à tel point que je ne peux pas stopper les larmes... Elle me manque beaucoup trop, c'est la seule pièce de mon passé qui est encore présent dans ma vie et qui compte à mes yeux et rien que la voir s'éloigner j'en ai mal...
De toute façon il n'y a pas que ça, plus le temps avance plus je vois mes amis faire leur vies et avancer, moi malgrés ce que j'ai dit avant, je n'avance plus maintenant, pour preuve, je voudrais retourner au lycée alors que les portes de la fac sont grandes ouvertes pour m'accueillir... J'ai peur d'avancer... Qu'est-ce que je vais trouver à l'autre bout du chemin ? Je n'arrive pas à me dire que je verrais bien une fois que j'y serais comme tout le monde me dirait de faire je ne suis pas comme ça, j'ai besoin d'avoir une "certaine" maitrîse des évenements. J'ai peur et je me sens de plus en plus seul... Je pleure et personne ne pourra m'aider afin de sécher ces larmes, elles sont là et rien n'y changera...
Bonne nuit.

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5 septembre 2006

I come back ?

C'est dans ces moments là, où on n'a aucune envie de revenir que l'on revient. Par un bizarre concours de circonstance je suis de nouveau tombé sur mon marque page "Canalblog" je pensais pas vraiment y écrire une nouvelle note mais juste fureter sur deux ou trois blogs et puis j'ai cliqué sur "ouvrir session" puis sur nouveau message et me voila. Moi bloggeur anonyme dont presque personne ne suit mes trépidantes (Aheum.) aventures racontées une fois tous les trente-six du mois et qui sont, en plus, remplies de fautes d'orthographes et de grammaires. En parlant de ça, j'ai justement une amie à moi qui doit ré-apprendre toutes ces règles si compliqué que l'on est censé connaître en sortant du CM2, c'est une chose assez coriace surtout maintenant avec la venue du SMS-style qui consiste à écrire phonétiquement et encore des fois c'est pire...
Bref je suis là maintenant et de nouveau je parle pour ne rien dire, peut-être qu'un jour j'abandonnerais suffisamment longtemps ce blog afin que le serveur Canalblog le supprime ou bien je le supprimerais par moi-même.

Dans moins de 5 jours j'entre à l'université. Encore une nouvelle expérience à vivre et j'angoisse déjà... C'est pourtant le dernier pas dans la liberté pendant la scolarité avec des cours où la présence n'est pas obligatoire et où la moitié des profs ne se souviendront pas de vous au bout de 2 mois à cause des 400 élèves dans l'amphi pourtant c'est, comme je l'ai déjà dit, la dernière étape, après c'est le boulot, après c'est la construction de sa vie sans Papa et Maman, sans le cocon familial et dans un certain sens je n'ai pas hâte d'y être. J'aime mon espace vitale de quelques mètres carrés où beaucoup se sentirait à l'étroit mais d'un autre côté j'ai déjà gouté à l'expérience sans "Papa-Maman" et c'est assez... Comment dire... Vivifiant de pouvoir faire ce que l'on veut quand l'on veut et d'assumer soit-même ses responsabilités de sa vie quotidienne sans avoir à se demander si je peux ou ne peux faire telle ou telle chose. J'ai comme qui dirait l'envie folle de prendre mon envol en dehors du nid mais mes aîles ne sont pas formées, pour le moment je n'ai qu'un semblant de ces choses, j'ai encore besoin de ça... Peut-être que dans un an, dans deux ans ou plus je pourrais faire l'envol mais pour le moment je n'ai pas les moyens (financiers et psychologiques) de faire cela...
En changeant de registre, il y a pas longtemps quelqu'un m'a demandé si je me sentais seul, j'ai répondu avec une sorte de reflex que non, je ne me sentais pas seul. Il y a pourtant un bout de temps, ma seule envie était d'être seul car j'étais habitué à l'être. Maintenant que j'ai pris goût à ça, je ne peux plus m'en passer... Pendant tout le mois d'août j'ai eu du monde avec moi presque tout le temps, l'après-midi et/ou le soir. C'était génial, j'ai pas d'autres mots pour en parler. Et maintenant ? Maintenant non... Ça fait un moment que je n'suis pas sortie le soir, l'après-midi non plus à par quelques jours il n'y pas longtemps. La reprise des cours peut-être ? La fin du rêve plutôt... Certaines choses sont apparus alors qu'elles étaient cachées auparavant, des choses impossibles à ignorer qui font que certaines personnes sont ce qu'ils sont mais ces défauts font mal, ils ne s'en rendent pas compte mais ils ont fait du mal, ils m'ont fait du mal et maintenant je n'arrive plus à les voir de la même manière sans penser à cela, je n'arrive pas non plus à leur dire car cela reviendrait à juger, critiquer, emmètre un jugement et vouloir qu'il ou elle change pour moi... Je n'aime pas changer pour les autres car après tout ils doivent m'accepter comme je suis mais je ne peux pas supporter ces choses qu'ils disent ou qu'ils sont devenus. On dirait que le monde avance mais que moi je reste bloqué ou alors l'inverse, que moi j'avance dans le monde mais qu'eux restent bloquer là où il ne devrait plus être... S'auto-juger n'est pas chose possible car l'objectivité ne sera jamais présente mais je sais que j'ai avancé, je sais que je n'suis plus le petit garçon dont j'ai parlé quelques notes auparavant et je vais devoir faire face à ces personnes afin que quelque chose se fasse. Soit elles devront s'adapter et se restreindre, soit elles devront me porter un dernier coup afin qu'on ne fasse plus nos chemins ensemble... Suis-je trop radical ? Peut-être mais j'ai besoin d'eux et pas de leurs bassesses pour souffrir car je préfère me passer d'eux dans ce cas comme je l'ai déjà fait par le passé.
Même si je dis que j'ai mûri, une chose elle n'a pas changé : J'ai toujours la peur de l'avenir. Que va t'il se passer à la fac ? Pourrais-je supporter l'ambiance et le travail ? Pourrais-je supporter cet abruti de Kevin suffisamment longtemps afin de me faire des amis ? Surtout... Est-ce que je continuerais à avoir peur de cet avenir ? J'aimerais tellement pouvoir jouer cette réponse à pile ou face afin d'être, dès maintenant, certains de cette réponse et ne plus avoir à me la poser...

6 mai 2006

Ce que je n'peux pas dire...

J'ai mal agis pardonne moi...

Dis, ca t'dit de sortir ?

Pourquoi j'ai l'impression de n'plus compter pour toi ?

Je vais pas bien... Aide moi...

Putin j'ai plus de crédit !

Sale garce !

J'aimerais te voir...

Tu me manques...

17 avril 2006

Encore une fois pourquoi ?

Pourquoi j'ai si peur de demander ? J'en ai marre c'est vrai... Faire le pas en avant pour demander à quelqu'un me paralyse... Bien sur pas pour tout, et pas sur tout le monde mais pour certaines choses je deviens complétement transi de peur et rien que de penser que je vais devoir demander (c'est-à-dire faire un effort vers l'autre, ouvrir mon envie à l'autre) j'en tremble et j'en ai mal au ventre...
J'ai peur parce que j'ai l'impression qu'en face on rejettera ma demande obligatoirement, ou alors qu'on la prendra mal et qu'on rejettera encore plus violemment... Bref c'est stupide car cette peur je l'ai surtout envers des gens proche de moi donc ce n'est pas d'eux que je devrais avoir peur...

Je suis vraiment compliqué quand j'y pense, j'me prend la tête pour énormement de chose qui ne le mérite pas et j'en connais une, qui m'a déjà fait la morale sur ça, qui serait pas contente de lire ce genre de chose et m'engueulerais vite fait bien fait pour me remettre dans le droit chemin...

12 avril 2006

Il était une fois...

Il était une fois... Dans un royaume fort fort lointain, encore plus loin que celui de notre bon vieil ami Shreck, un royaume réel, celui de la planète Terre où seuls les hommes ont la parole, l'intelligence réelle et où ils se croient maître de leur chez eux...
Bref... Je disais donc, il était une fois... Un futur jeune homme qui se trouvait assis là devant son ordinateur à écrire pour personne et tout le monde en même temps...

Quand il était petit, ce petit garçon avait deux amis et plein de copains, une chérie avec qui il allait derrière les arbres de la cour de récréation afin de se faire des bisous innocents, chez lui il jouait tranquillement avec ses légos, ses powers rangers, ses batmans... C'était un petit garçon tout à fait normal et qui plus est, il se débrouillait très bien dans les exercices donnés par sa maîtresse...

Quand il était jeune, ce petit garçon n'avait pas une vie sociale très évoluée... Il n'avait plus d'amis, seulement des copains, il n'avait plus de chérie, seulement un amour secret... Ses copains changeaient chaque années, jamais il ne les gardait s'ils n'étaient plus dans sa classe mais toujours une chose restait : Ses notes restaient hautes, tout le monde pensaient qu'il ferait de grandes études et ses parents étaient fièrs de lui...

Quand il grandit un peu plus, ce garçon devenant doucement un futur jeune homme se fit des amis, pas beaucoup une fois de plus, mais deux étaient largement assez... C'étaient sa nouvelle meilleure amie avec qui il ne parlait pas du tout en primaire, et son meilleur ami de maternelle qu'il venait juste de retrouver. D'autres personnes venaient se greffer à eux, des gens qu'il considérait comme des amis potentiels, d'autres comme des copains de collège et d'autres comme des gens qui auraient presque pu être bien mais qu'il n'aimait pas beaucoup... Il n'avait toujours pas de chérie, plus vraiment non plus d'amour secret, juste des filles gentilles, sympas et marrantes avec qui il s'entendait bien et avec qui il n'a jamais essayé de peur de se faire jeter mais (et il ne l'a jamais avoué...) sa meilleure amie le faisait un peu craquer... Par contre ses notes ont chuté... Elles restaient bonnes, mais n'étaient plus TRÈS bonnes, ce jeune garçon découvrait les joies de sortir avec des gens avec qui il s'entendait sans se préoccuper des cours, les joies aussi de discuter en cours car ce que disait le professeur n'était pas intéressant...

Cette fois ce fut le grand changement ! Non il ne grandit pas (enfin si mais c'est pas ça le changement...) mais il s'en alla... Ses traîtres de parents l'ont obligé à partir, s'en aller loin de tout ce qui pouvait le rendre heureux, de tout ce qu'il avait réussit à construire ! C'était la fin de tout, fini le trio, fini les batailles d'eau devant chez A., les batailles de journaux, fini la découverte de l'informatique chez J., fini... Fini... C'était la fin... Alors il a pris son petit courage à deux mains et à pris l'adresse de ses amis et copains en se disant de manière ferme : "Je garderais contact !" Seulement il ignorait une chose : "Loin des yeux, loin du coeur." Mais il en fit vite l'expérience... Il perdit contact avec tout le monde dès le moment où le camion de déménagement démarra sauf avec A. et J., eux restèrent, du moins un temps puis ce fut fini, plus de contact... Ce jeune garçon se retrouvait tout seul... Plus d'amis, plus de copains, plus de possibilité de chérie ou d'amour secret... Plus rien...

Encore une fois il grandit et arriva dans ce nouveau lieu remplit de mystère, avec des têtes totalement inconnues qu'il n'avait pas envie de voir, ni de connaître... Tout ce qu'il voulait c'était repartir là où il était avant, dans cet endroit si familier, entre ces deux cités préférées et pas dans cette maison, dans ce quartier pavillonnaire si calme... Puis finalement ça arriva, malgrés sa timidité, et sa non-envie de vivre ici, il se trouva un ami, quelqu'un qui avait les mêmes goûts et qui le faisait apprécier de plus en plus cette vie ici mais pour le moment il n'avait qu'un seul ami, toujours pas de chérie en vue et ses notes avaient quelques peu remontés (il n'avait plus que ça à faire c'est normal...)...
Puis ça arriva, les amis arrivèrent, la chérie aussi (même si ce fut très court...). Ce garçon devenant jeune homme commençait à aimer cet endroit... technologie aidant, il reprit même contact avec ses anciens meilleurs amis ainsi que son ancien amour secret et d'autres personnes avec qui il ne pensait jamais renouer... La vie était bien, ses notes remontaient encore, son nombre d'amis augmentaient, de nouveau il avait un amour secret...

Maintenant que tout allait bien, le garçon devient jeune homme avec l'évolution de sa vie, il prenait des décisions quant à son avenir et suivait ses meilleurs potes vers l'aventure d'un nouvel établissement sans les liens de l'année passée... Cette fois rien ne changea, les mêmes amis, de nouveaux vagues copains de lycée, pas d'amour secret ou de chérie, des notes toujours normales puis d'un seul coup tout s'accélera sans prévenir... Un groupe d'ami qui grandit pour devenir plus grand qu'il ne l'espéra jamais, la chérie arriva sans crier gare apportant réconfort et confiance en soi ainsi que les notes mais aussi la crainte du grand ennemi de fin de vie lycéenne...

Il grandit de nouveau, ou plutôt maintenant il évolue de nouveau et au fur et à mesure tout se détruit... La chérie est partie détruisant réconfort et bonheur, la meilleure amie n'est plus là comme avant, les amis sont là mais dès fois, et peut-être qu'ils ne s'en rendent pas compte, ils oublient ce jeune homme resté un petit garçon. Ils sortent sans lui, font des projets sans lui, s'amusent sans lui... Le petit garçon a même perdu celle qu'il appelait son "petit rayon de soleil" en rigolant mais il le pensait réellement... Son avenir se profilait devant lui, l'ennemi n'était plus qu'à quelques mois apportant avec lui son nouveau lot de changements plus ou moins bénéfiques...

Maintenant le jeune homme est là, relisant cette confidence, ne sachant pas trop s'il doit la publier, ne sachant pas si des personnes se reconnaîtront ou s'ils essaieront de se reconnaître ou encore même s'ils liront un jour...
Pour une fois qu'il dit vraiment ce qui ne va pas, est-ce que quelqu'un saura le lire et l'écouter ? Peut-être pas... Mais peut-être aussi qu'il ne le veut pas vraiment car voir ces regards peinés vers lui ou encore les tentatives pour lui remonter le moral lui sembleront fausse alors que tout cela sera sûrement teinté de bonnes intentions...
Ce jeune homme est resté un enfant qui tourne la tête vers le passé car son futur est incertain alors que le passé est réconfortant, il sait déjà ce qu'il s'est passé, il n'a pas besoin d'inventer ou de faire semblant d'être confiant... Ce petit être a peur... Oh pas tout le temps, par moment il sait s'amuser, oublier ses problèmes et vivre l'instant présent en l'appréciant plus que de raison... Cependant il a peur, peur de se montrer, peur du rejet, peur des autres, peur de demander, peur d'obtenir, peur de donner, peur de mourir, peur de vivre, peur qu'un jour il se réveille 30ans plus tard pour se rendre compte que sa vie est à chier et totalement à l'ouest de ce qu'il pouvait ne serait-ce qu'imaginer dans ses pires prévisions... Mais sa plus grande peur n'est pas celle là, sa plus grande peur et de ne jamais pouvoir donner complétement son amour à quelqu'un sans subir soit la moquerie, soit le rejet, soit la déception ou encore la trahison, s'il donne, il donne à fond et s'il est trahit, rejeter, moquer ou décu alors il souffre à fond... Et, faut le croire, mais il est prêt à donner énormement, peut-être même trop mais quand on aime, on ne compte pas...

Les seules choses qui comptent dans son esprit c'est de retourner au 5 rue ******* ******** pour jouer avec le tuyau d'arrosage ou encore le 36 allée de la ****** passer une après-midi tranquille avec sa meilleure amie ou encore un peu plus loin dans la même rue avec Elle ou encore le bassin avec tout ses amis afin de passer une après-midi sympas avec tous ses amis sans prise de tête, sans voir le temps passé... Ça arrivera peut-être... Ou bien ça n'arrivera pas mais au moins il l'aura vécu ne serait-ce qu'une fois et peut ainsi continuer de se repasser ces scènes dans sa tête afin de se dire qu'à un moment de son existence, sa vie a pu être magique priant par la même occasion pour que d'autres évênements aussi bon arrivent dans un avenir plus ou moins proche...

Maintenant que tout ceci est écrit, ce jeune homme ne sent pas mieux pour autant mais il se dit que maintenant il ne sera plus seul à savoir qu'il va mal, des inconnus, des connus le sauront aussi...

*Bon il faudrait maintenant que je me stop d'écrire car j'pourais pondre encore deux ou trois fois ce que j'ai déjà écrit mais ça partirait en couille quoi... Pour ceux qui n'aurait peut-être pas encore compris, le petit garçon qui évolut tout au long de la note c'est moi... Allé... A plus tard...*

Dsl pour les fautes...

calimero

17 mars 2006

Le blog ?

C'est étrange les blogs. C'est censé être un journal dit intime et pourtant il est à la porté de la lecture de chacun. Comme si demain tout ceux qui écrivent un journal intime papier s'amusaient à l'imprimer et à le distribuer au premier venu.
J'me surprend moi-même à en suivre quelques uns juste parce que j'ai bien apprécier l'écriture, l'humour, le cynisme de la personne etc... Ça permet de connaître de nouvelles personnes sans pour autant aller vers elle et discuter, on apprend indirectement par l'écrit le caractère de la personne sans la connaître... (Oui j'me répète un peu ^^) J'trouve ça étrange de se livrer autant sur un bout de la toile à des gens que l'on ne connaît pas en général et paradoxalement j'trouve ça intéressant comme expérience.
Personnellement ça me permet de dire des choses (qui sont des fois inintéressante ^^) sans avoir besoin de quelqu'un à coté de moi, sans être obligé d'aller souler du monde sur mes idées, mes opinions, mes états d'âmes, mes coups de blues (même si quand j'vais pas bien j'sais où me confier =))

C'est étrange, mais avant d'écrire cette note, j'avais plein d'idée pour argumenter mon point de vue, et une fois devant le clavier j'avais plus rien à dire... En ce moment ça m'arrive tout le temps et c'est lourd à force (non c'est pas Halzeimer ^^) car j'met 20 minutes à écrire 10 lignes...

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